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UNE ILE, UNE HISTOIRE... Le rêve américain

L'ILE

Ellis Island est avec la Statue de la Liberté un des symboles de la ville de New York. Elle est située à l'embouchure de l'Hudson à New York, moins d'un kilomètre au nord de Liberty Island qui abrite la statue de la Liberté.

LE RÊVE AMERICAIN

Le rêve américain (American Dream en anglais) est l'idée selon laquelle n'importe quelle personne vivant aux États-Unis, par son travail, son courage et sa détermination, peut devenir prospère. Si cette idée a été incarnée par plusieurs personnalités ou émigrés revenus investir dans leurs pays d'origine, la réalité sociale américaine a fait déchanter de nombreux immigrants.


ELLIS ISLAND ET L'IMMIGRATION

De 1892 à 1954, près de douze millions de migrants venus d’Europe passent par Ellis Island pour entrer aux Etats-Unis. Au seuil de l’Amérique, sur ce bout de terre au large de la baie de New York, dans un tohu-bohu incessant rythmé par les arrivées, les migrants attendent, chargés de leurs bagages, de leurs rêves et de leurs craintes. Ellis island, « l’île des larmes », n’accueille pas les immigrants. Elle les inspecte. Elle les ausculte. Elle les interroge. Le bureau de l’immigration, administré par le gouvernement fédéral, traque la maladie, vérifie le passé des migrants, scrute leurs opinions et leurs projets. L’Amérique se méfie de ces nouveaux migrants venus du sud ou de l’est de l’Europe, catholiques et juifs, et les soupçonne d’amener la maladie ou la délinquance. Au moindre doute, le nouveau venu se trouve retenu pour des examens et des vérifications complémentaires. En 1924, la loi des quotas freine l’immigration et favorise les « anciens » immigrants au détriment des « nouveaux ». Après un lent déclin de trente ans et une histoire agitée, le centre ferme définitivement ses portes au milieu des années cinquante. En 1990, un musée s’installe dans l’île, entre les murs du centre réhabilité.



source http://pietondeparis.canalblog.com/archives/2012/07/17/24722581.html



L'histoire d'Ellis Island nous a vraiment fascinées, ce qui nous a poussées a poursuivre nos recherches sur l'île et nous permis de découvrir que l'histoire de l'île a inspiré beaucoup d'artistes.

Quelques exemples d'oeuvres que nous voulons prendre le temps de voir, lire ou écouter.


Les photographies d'Augustus Frederick Sherman

En 1892, juste après l’ouverture d’Ellis Island, Augustus Frederick Sherman (1865-1925), fils d’un commerçant de Pennsylvanie, photographe amateur, entre comme employé au Bureau de l’immigration. Une position privilégiée qui lui donne accès aux femmes et aux hommes détenus dans le centre, en attendant que l’on statue sur leur sort. Pendant vingt ans, de 1905 à sa mort en 1925, il construit une œuvre photographique autour de ces migrants.


http://www.histoire-immigration.fr/musee/autour-des-expositions/portraits-d-ellis-island-1905-1920-augustus-frederick-sherman


Le livre de Gaëlle Josse, Le Dernier Gardien d'Ellis Island

New York, 3 novembre 1954. Dans cinq jours, le centre d'Ellis Island, passage obligé depuis 1892 pour les immigrants venus d'Europe, va fermer. John Mitchell, son directeur, officier du Bureau fédéral de l'immigration, resté seul dans ce lieu déserté, remonte le cours de sa vie en écrivant dans un journal les souvenirs qui le hantent : Liz, l'épouse aimée, et Nella, l'immigrante sarde porteuse d'un étrange passé. Un moment de vérité où il fait l'expérience de ses défaillances et se sent coupable à la suite d'événements tragiques. Même s'il sait que l'homme n'est pas maître de son destin, il tente d'en saisir le sens jusqu'au vertige. A travers ce récit résonne une histoire d'exil, de transgression, de passion amoureuse d'un homme face à ses choix les plus terribles. résumé de: http://www.babelio.com/livres/Josse-Le-dernier-gardien-dEllis-Island/611443


Le documentaire de Georges Perec et Robert Bober, Récits d'Ellis Island

(cf rubrique UN DOCUMENTAIRE)


La chanson Isle Of Hope, Isle Of Tears de Celtic Thunder

Possibilité d'écouter le morceau en première page du site


On the first day of January, Eighteen ninety-two, They opened Ellis Island and they let The people through. And first to cross the threshold Of that isle of hope and tears, Was Annie Moore from Ireland Who was all of fifteen years.

Isle of hope, isle of tears, Isle of freedom, isle of fears, But it's not the isle you left behind. That isle of hunger, isle of pain, Isle you'll never see again But the isle of home is always on your mind.

In a little bag she carried All her past and history, And her dreams for the future In the land of liberty. And courage is the passport When your old world disappears But there's no future in the past When you're fifteen years

Isle of hope, isle of tears, Isle of freedom, isle of fears, But it's not the isle you left behind. That isle of hunger, isle of pain, Isle you'll never see again But the isle of home is always on your mind.

When they closed down Ellis Island In nineteen forty-three, Seventeen million people Had come there for sanctuary. And in springtime when I came here And I stepped onto it's piers, I thought of how it must have been When you're fifteen years.

Isle of hope, isle of tears, Isle of freedom, isle of fears, But it's not the isle you left behind. That isle of hunger, isle of pain, Isle you'll never see again But the isle of home is always on your mind. The isle of home is always on your mind.


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